Comment ça se passe chez vous ? Chez nous, ça dépend des moments. Parfois, ils jouent des heures ensemble et parfois, à peine ils se croisent qu’ils se chamaillent..

C’est une situation bien particulière qu’ils vivent, ce confinement, sans activités hors de la maison ni d’amis à voir. Je vous avais parlé dans mon dernier article de l’acceptation de leurs sentiments négatifs les uns envers les autres qui peut déjà aider la relation.

Pourtant ça ne suffit pas toujours !

Un autre sujet abordé lors des ateliers que j’anime est la comparaison. Elle peut se glisser parfois dans des phrases telles que : « Regarde ton frère comme il a bien rangé sa chambre », « Luca, lui, a déjà fait ses devoirs. Tu devrais prendre exemple sur lui ». On pense le motiver en disant ce genre de choses et malheureusement ce sont plutôt des mots qui vont déclencher des discours internes du type : « Oui, oui, je sais, il est tellement mieux que moi » ou « On sait que c’est le petit chouchou qui fait tout bien ». Et finalement, on alimente le ressentiment qu’il peut avoir envers ce frère ou cette soeur.

Comment y échapper ?
– En se retenant de parler du frère ou de la soeur quand on attend quelque chose de notre enfant.
– En décrivant simplement ce qui doit être fait : « Tu as déjà finit le français, il te reste les maths », « Je vois que ta chambre n’est pas encore rangée ».

Si vous avez des situations difficiles à gérer et que vous savez l’impression d’avoir tout essayé, appelez-moi, nous trouverons ensemble d’autres pistes d’intervention !
Profitez, c’est GRATUIT pendant le confinement 🙂